Et hier, pour ce qui pourrait se révéler son avant-dernier match à domicile comme gestionnaire, il y avait un. Malheureusement pour lui, il n'était pas son côté.
Cinq des héros de Harry Catterick de 1963 ont défilé sur le terrain pour célébrer le 50e anniversaire de leur championnat de la Ligue, il a souligné la différence entre le passé et le présent.
Everton a battu Fulham pour décrocher le titre il y a un demi-siècle. Grâce à but de bien travaillé de Steven Pienaar, ils vainquirent hier. Mais maintenant, quand d'autres ont beaucoup plus d'argent, la seule division qu'ils sont susceptibles de gagner est le mini-championnat de Merseyside.
Ils seront probablement être bloqués en sixième. Alors qu'ils ont infligé une peine de mort sur Fulham, et alors que le tirage au sort de Tottenham à Wigan leur a permis de gagner du terrain, sauf s'ils peuvent revoir Arsenal, Chelsea ou aux embranchements, ils ne seront en Europe la saison prochaine. Moyes accepte qu'ils auront probablement à gagner ses trois matches restants, à Liverpool et Chelsea, ainsi que West Ham à Goodison, si Everton est d'avoir besoin de leur passeport l'année prochaine.
« Si nous obtenons en Europe nous sera certainement lui ont valu », dit-il. Si Moyes se rendra sur le continent avec le côté est une autre affaire. Son contrat expire à l'été. Sa décision a été mise en suspens. « Qui se fera à la fin de la saison », dit-il.
Il a déjà été une meilleure saison que l'an dernier, avec Everton en tête de leurs points au total de 12 mois en raison d'une grève mémorable.
« Un objectif formidable footballistique », a déclaré Moyes. « C'était un mouvement complexe agréable. » Kevin Mirallas et Leon Osman ont été impliqués, combinant habilement, avant que Seamus Coleman choisi Pienaar, qui froidement trouvé au dos de la net de Fulham.
« Qui lui fera le monde de bonne, », a déclaré Moyes. « Je pensais que Steven nous tricotés ensemble un petit peu. » L'Afrique du Sud était le seul à battre l'occupé Mark Schwarzer. Le gardien de but australien bloqué début de l'en-tête de Marouane Fellaini en-tête des Mirallas. Puis, comme dans le dernier quart d'heure, Everton a cherché un deuxième but, il a nié Mirallas, après un spectacle de raccourcis et astuces de l'ailier.
Enfin, il a pu remplacer par Ross Barkley d'ouvrir son compte d'Everton. Fellaini a également raté un but ouvert après une magnifique Croix de Leighton Baines et Moyes a déclaré: « Nous ne pouvions pas seulement obtenir que le deuxième but ».
Fulham n'a pas pu obtenir une première. Seul Kieran Richardson, avec une croix-shot que Mladen Petric pas pu convertir et Urby Emanuelson, qui flambait un tir au-dessus, s'est même proche. Même avant de perdre à Goodison Park comme d'habitude, Fulham a perdu leur meilleur buteur.
Dimitar Berbatov entravé éteint après une demi-heure. Patron des espoirs de Martin Jol sa saison n'est pas terminée. « Je pense qu'il a obtenu une larme dans son mollet », dit-il.
Sans leur brillant bulgare, consternante de Fulham à Goodison Park a empiré. Alors qu'ils ont gagné à Liverpool la saison dernière, c'était leur 20e défaite de champion consécutifs de l'autre côté du parc Stanley.
Ils n'ont pas enlevé un point à Everton depuis 1959, quand Jol avait trois ans - donc le seul gestionnaire avec n'importe quel célébrant à faire était de Moyes.
Une quinzaine de jours vieux quand l'équipe de Catterick a remporté la vieille Division 1 en 1963, il a eu 50 jeudi. Son parti a été reporté jusqu'après le match d'hier. « Ce sera une rave écossaise sauvage », il a plaisanté. « Toute nourriture écossaise, tous les écossais boire sans que personne anglais il du tout. »
HOMME du MATCH : SEAMUS COLEMAN - une figure dynamique sur le droit d'Everton, faire une série de pistes de conduite et la mise en place d'objectif de Pienaar. Un joueur nettement améliorée.
EVERTON : Howard, Baines, Jagielka, Distin, Coleman, Osman, Pienaar, Fellaini, Jelavic (Barkley, 67), Mirallas, Anichebe.
FULHAM : Schwarzer, Senderos, Hangeland, Richardson (Duff 56), Manolev, Karagounis (Rodallega 77), Kacaniklic, Emanuelson, Enoh, Berbatov (30 Petric), Ruiz.
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