Villas-Boas est responsable de beaucoup plus intuitif et émotionnels qu'a été dépeint. En effet, la semaine avant dernier qu'il s'est rendu à Gateshead, à prendre part à un événement de charité pour marquer ce qui aurait été le 80e anniversaire de Sir Bobby Robson, qui qu'il considère comme ayant été une bien plus grande influence sur lui que Jose Mourinho.
Robson est un coach émotionnel, passionné, comme est Mourinho bien sûr, mais il lui manque de spontanéité, et comme c'est Sir Alex Ferguson, et est donc Villas-Boas. Il peut privé déplorent la nature trop émotionnelle du football anglais, alors que Chelsea, parce qu'il apporté un tel élément aléatoire à une procédure avec entailles renversé en un instant, mais il a toujours été un créateur d'équipe qui s'est fondé sur l'instinct.
Et Villas-Boas veut parler. Quand il est arrivé aux dents, il dit les joueurs qu'il avait une politique de « porte ouverte » (comme tous les gestionnaires ont tendance à dire), mais les Portugais il signifiait réellement. Ils ont tous ses numéros et sont invités à communiquer avec lui chaque fois qu'ils ont besoin pour, 24/7.
Villas-Boas a passé des heures à parler à ses joueurs individuellement, en branchant dans leurs personnalités, les choses qu'ils aiment et les choses qui les inspirent et il a capitalisé sur le fait qu'ici était une escouade de jeune affamée désespérée pour le succès, tout comme il est. Il veut travailler avec de jeunes joueurs.
Villas-Boas est aussi un mordu de vitesse. Il est plus heureux quand il a la chance de conduire la voiture de course qu'il avait fait sur mesure, quand il a perdu son emploi à Chelsea, ou prenant d'une moto et entrer dans les collines au Portugal.
Villas-Boas a également adapté. Il était sans aucun doute châtié et embarrassé par ce qui est arrivé à Chelsea et a admis le vendredi après-midi, devant north London derby de dimanche à la maison à Arsenal, que: « Je suis un gestionnaire différent et une autre personne ».
Jusqu'à la Chelsea débâcle il y avait une trajectoire ascendante extraordinairement rapide de sa carrière et il a eu cette invincibilité de la jeunesse qui voulait dire qu'il a toujours cru qu'il avait raison.
Il existe des nuances de gris et de nuances, et tandis que les Villas-Boas a jugé à juste titre sur les principes, l'honnêteté et l'approche honorable qui lui font non seulement sympathique mais attachante, il a également appris et appris rapidement – comme il l'a fait tout au long de sa vie.
Mais ensuite, il est remarquablement lumineux. Villas-Boas a également appris comment puiser dans son sens aigu de l'humour, quelque chose de ceux qui le rencontre pour la première fois sont surpris qu'il possède.
Villas-Boas est aussi véritablement, charmantes intéressé dans le collectif. Il s'agit très certainement pas la gloire individuelle. Sachant qu'il a pensé à faire carrière dans le journalisme sportif une fois lui demanda ce qu'il aurait écrit tout le succès qu'il atteint au Portugal.
« Je voudrais probablement écrire quelque chose sur combien il est important pour moi de partager mon succès avec les gens du haut vers le bas de ce club, » dit-il.
Alors qu'il cherche désespérément à gagner – et il s'agit de trophées pour lui — il a également assoupli et accepté que dans un club comme les Spurs, il y a des objectifs précis : cette saison, c'est de terminer dans les quatre premiers et se qualifier pour la Ligue des Champions ; C'est pour monter un défi titre de Premier League la saison prochaine.
Mais Villas-Boas veut gagner. Et il n'est pas surprenant de voir les Spurs à faire tel un gros effort pour faire de même dans l'Europa League, une compétition, d'ailleurs, où il est encore de perdre un match nul.
Rien n'a été encore réalisé. Éperons ont mis au point en équipe mais il y a tout pour jouer. Villas-Boas va attendre et voir ce qu'il peut réfléchir à la fin de cette campagne dans laquelle il a déjà tant fait pour réviser l'avis — certains brutalement injuste — livré sur lui quand il a quitté Chelsea. Et il n'a pas oublié ce qui a été dit.
Mais il y avait aussi un article qui a frappé les proches de Villas-Boas et il a été écrit dans les éditions irlandaises du journal The Sun par Roy Keane, qui a comparé provisoirement ses 257 jours à Chelsea avec de Clough infâme 44 jours chargé de Leeds United avant il puis finalement obtenu tant de succès à Nottingham Forest.
« Je ne dis pas que qu'il va devenir champions d'Europe comme Clough fait avec Nottingham Forest de Tottenham, » écrit Keane. « Juste que son temps en charge à Stamford Bridge besoin lui définit pas comme un gestionnaire. »
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